- Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Nous sommes Anaïs Harel et Nicolas Ocante, nous avons respectivement 30 et 31 ans. Nous nous sommes rencontrés au sein du studio de création de la marque Veja pour laquelle nous avons travaillé plusieurs années en tant que graphistes. Très « print » à la base, nous avons été amenés, au sein du studio, à toucher à plein de choses, DA photo, vidéos, installations, set design… Nous avons monté notre propre studio il y a quelques mois, avec pour mot d’ordre cette idée d’être des couteaux suisses.
- D’où vient cet intérêt pour l’univers du graphisme et de la direction artistique ?
Nicolas : j’ai toujours voulu être graphiste.
Anaïs : moi je viens d’un univers plutôt scientifique à la base et je me suis perdue à un moment donné, sans regret.
- Quel est le maître mot de PARIS SE QUEMA selon vous ?
Ne pas se limiter. Ni à un médium, ni à un métier, ni à un style.
- Quelles sont vos inspirations ?
Nous aimons travailler la couleur, la couleur dans l’espace, les anamorphoses, les trompe-l’oeil et le mimétisme, la typographie, la géométrie, les matériaux. Nous nous inspirons souvent de l’art, classique comme contemporain, et glissons des références dans nos projets.
- Quel a été votre plus gros challenge jusqu’ici ?
De se dire que nous étions capables de monter une entreprise et d’apprendre encore de nouveaux métiers.
- Quels sont vos futurs projets ?
Nous aimerions beaucoup développer des projets vidéos, nous planchons là-dessus en ce moment. Nous avons aussi dans les rails un projet de collaboration avec une créatrice de mode qu’on adore pour début 2015…
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