

Non seulement produire à partir de ces déchets, c’est valoriser le travail déjà effectué sur la matière mais c’est aussi faire du déchet un semi-produit et de son producteur un véritable sous-traitant.
Dans cette démarche il ne manquait que la créativité comme seul déclencheur de cette production à l’impact carbone négatif. C’est à ce moment là qu’intervient Maximum. Plutôt que de partir d’une feuille blanche, les designers composent avec des matières préexistantes pour créer des meubles qui existent sans qu’on puisse se poser la question de leur légitimité.
C’est dans ses ateliers d’Ivry-sur-Seine que sont ensuite réalisées les opérations nécessaires au passage du déchet à l’objet. Cette dimension artisanale confère au mobilier Maximum sa qualité et un niveau de finition irréprochable.
La durée de vie d’un meuble dépend non seulement de la qualité de sa fabrication, mais commence par une recherche rigoureuse d’ergonomie et d’élégance.
Cette étape de conception est primordiale: à partir d’une ressource contraignante, elle permet de créer des objets sans compromis. Les déchets avec lesquels la marque Maximum travaille ne sont pas de simples morceaux de matière première. Premier gage de leur qualité, ils ont été produits dans des usines françaises, et portent en eux tout le savoir-faire de ses partenaires.
T/O/S.
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